Einstein Shagall, Freund
et les prix Nobel et tous ces artistes, ces savants, ces ingénieurs, ces
philosophes sont donc des coïncidences ? ou bien complot pour
promouvoir des nuls, non judaisme tout simplement et voilà pourquoi en
quelques lignes:
Que doit le le monde moderne dans ce qu'il a de meilleur au judaïsme?
Le
travail des religieux sur nos textes ne se limite en rien de l'apprentissage par
coeur.
C'est aussi une
discussion acharnée sur les moindres détails de la Torah (le premier
testament des chrétiens), le livre des juifs dont certain passages sont
résumés dans le Coran que naîtra les commentaires du Talmud.
Discussions sont bien entendu sont à l'origine d'un grande part de
l'esprit critique et scientifique moderne.
Le talmud lui même
comportant la Michna et les analyses les plus compliquées autorisées
seulement aux anciens et savants que l'on trouve dans la Guemara
En constante évolution
le judaisme suit des lois déduites notamment par le rabbin Rachi
de Troyes auteur des premiers livres de langue française....
Les
plus bigots des juifs suivent donc des préceptes édictés par des
savants du moyen-âge.
Quand
on sait au grand dam de la désinformation génocidaire chrétienne que
la peine de mort n'était déjà plus APpliquée chez nous .....déjà
l'époque de Jésus.
Nous les juifs nous nous
considerons comme entierement responsables de nos actes :
-pas de confessions pour
s'absourde de nos méfaits, ceux ci doivent être réparés,
- pas d'impuissance face à
un destin qui nous dépasserait comme le consirèrent boudistes hindouistes et
les musulmans (Averoes compris).
Nous les juifs, nous nous
considérons comme adultes et responsables.
En tant que juifs, Dieux,
nous a lui même sorti d'Egypte où nous étions esclaves pour faire de nous des
être libres et responsables.
Dieux a fait tous les hommes
tous les hommes, JUIF OU PAS à sont image donc aussi responables que lui.
......peut-être aussi aussi
capable que lui ?
En tous cas, être seul
et croire que l'on peut changer le monde, depuis Jésus même les
chrétiens peuvent en témoigner, de nombreux juifs ont effectivement changé le
monde.
Impossible n'est pas
français mais dans l'esprit d'un juif, rien n'est impossible.
iL FAUT LE Répéter
Le travail des religieux sur
nos textes ne se limite en rien de l'aprentissage par coeur des musulmans ou de
la croyance béate et fiévreuse des chrétiens c'est aussi une discussion
acharnée sur les moindres détails de la Torah (le premier testament des
chrétiens), le livre des juifs dont certain passages sont résumé dans le
Coran que naitre le Talmud lui même comportant la Mischna et les analyses les
plus compliquées autorisées seulement aux anciens et savants que l'on trouve
dans la Guemara.
Oui,
moi Daniel Amir après trois générations d'athéisme, je vous l'affirme et le crie bien haut, je me ressaisis de
mes racines à pleine main fermé.
Elles ont été
conservées par la sueur et le courage des mes ancêtres au travers des
siècles de pogroms, de peur et du mépris et je leur dis merci.
Je suis JUif et je
serais digne de vous et des richesses morales que vous m'avez transmis.
les apports du judaisme vous avez vos idées : voici donc une toute petite partie de la réponse à vous de
la complétez ou d'en écrire une autre,
vous aussi, envoyez la moi à daniel.amir@afemo.fr
Voici tout d'abord un texte traduit de l'anglais politicaly
correct
source http://irpourdemain.over-blog.com/
jeudi 25 octobre 2007 Les prix nobels
1130-672-nobelchimie.jpgCette année, trois Prix Nobel viennent
d’être attribués à des personnalités de parents juifs, tous* en
économie. L’article analyse les statistiques sur le Siècle écoulé et
tente de comprendre les facteurs d’extrême surreprésentation des
juifs en relation avec la Haskala et avant de dégager des tendances
pour le futur.
Les Nobel américains, Leonid Hurwicz, Eric Maskin et Roger Myerson
ont été récompensés pour avoir « jeté les bases de la théorie ‘de
conception des mécanismes’ », qui permet aux économistes,
gouvernements et entreprises de distinguer les situations dans
lesquelles les marchés fonctionnent bien. Cette théorie initiée par
Hurwicz et développée par Maskin et Myerson, joue un rôle central en
économie et en science politique. "Je ne m'y attendais pas
vraiment", a déclaré M. Hurwicz, 90 ans, aussi surpris que notre
matriarche Sarah quand D.ieu lui annonce (aussi à 90 ans) sa
grossesse prochaine, aussi exceptionnelle à un âge aussi avancé
qu’un Nobel !
Son nom est une variante de Horowitz, bien souvent Levy. Né à
Moscou, il a échappé de peu aux camps de concentration durant la
guerre en quittant Varsovie juste à temps pour les USA. Les deux
autres récipiendaires, Maskin et Myerson, ont tous deux 56 ans ; le
premier étant professeur à Princeton et le second à Chicago et dont
le nom est le même que celui porté initialement par Golda Meïr.
Ces trois récipiendaires portent le nombre de Prix Nobel « juifs »
(décernés à des personnes dont un parent est juif) à 177 sur 747
attribués entre 1901 et 2007. Soit 22%, à comparer à une population
juive évaluée à 0,2% de la population mondiale, conduisant à une
surreprésentation d’un facteur supérieur à 100. Il n’est pas
question d’en tirer la moindre gloire mais de tenter de comprendre
un tel phénomène évalué par catégorie :
41% des Prix Nobel en économie sont Juifs Surreprésentation 200
28% des Prix Nobel physique/médecine sont Juifs Surreprésentation
140
20% des Médailles Field Maths sont Juifs (estimé) Surreprésentation
100
18% des Prix Nobel en chimie sont Juifs Surreprésentation 90
13% des Prix Nobel en littérature sont Juifs Surreprésentation 70
9% des Prix Nobel de la paix sont Juifs Surreprésentation 45
On constate ainsi que les juifs sont ultra surreprésentés dans les
matières les plus théoriques (plus de 100) et le restent
significativement (plus de 50 fois la normale) dans les matières
moins abstraites qui relèvent pourtant de tous autres schémas de
pensée. Il convient d’éliminer les hypothèses de nature antisémites
(complot juif, lobbying, adaptation de la société à l’intelligence
juive, ...) ainsi que celles de nature génétiques car les juifs sont
une des populations les plus mixtes au monde (avec près de deux
centaines d’ethnies).
Il ne reste alors que le facteur culturel et on invoque généralement
l’importance donnée à l’éducation en général, et aux sciences en
particulier, au sein de la communauté juive. Les grands parents des
Nobel sur la période étudiée sont nés en moyenne entre le début du
19ème et le début du 20ème Siècle, pour la plupart avant la Haskala.
Nombre d’entre les grands-parents des Nobel étaient donc éduqués
autour d’études intensives du Talmud avec ses gymnastiques
intellectuelles, de la Hagada et du Midrach avec leurs charges
symboliques.
La Haskala aura conduit leurs descendants, ainsi munis des
gymnastiques intellectuelles ad hoc, à fréquenter les bancs de
l’Université avec de réels atouts qui auront plus que largement
compensés l’isolement culturel en ghetto de leurs ascendants. Deux à
trois générations après la Haskala pour les plus récents Nobel, une
à deux pour les plus anciens, leur auront permis de conserver les
atouts que les études traditionnelles juives avec leur abstraction
ou leur symbolisme sont à même de conférer.
Si cette piste était la bonne, on constaterait alors combien ces
savoirs sont adaptés au monde en réalisation de l’injonction divine
de le « conquérir ». Cette adaptation indirecte mais néanmoins très
efficace nous rend peut-être moins incompréhensible l’indication de
nos Sages nous laissant bien souvent dubitatifs lorsqu’ils nous
disent que les Mitsvoth les moins rationnelles (comme les « houkim
»), sont adaptées au monde.
On peut imaginer qu’au fur et à mesure que la proximité à la période
« préhaskala » diminue et que l’intérêt pour l’éducation croît dans
le monde, la proportion des Nobel juifs aura tendance à décroître.
*Notons que le Prix Nobel de Physique (partagé avec le français
Albert Fert), Peter Grünberg, d’origine tchèque, n’est probablement
pas juif. Notre ami, Michel Gurfinkiel, Président du Bné Akiva, de
l’Ajeclap, et de l’Institut Jean-Jacques Rousseau nous a signalé de
nombreux indices en défaveur de cette thèse : son prénom Fiodor est
rarement adopté par des juifs ; son changement de nom de famille,
germanisé sous le protectorat allemand de Bohême de Grinberg en
Grünberg, est intervenu à un moment où cela était interdit aux
juifs.